La stratégie sectorielle environnement et énergie contribue, de concert avec les autres volets thématiques, à maintenir la qualité du cadre de vie de la population et à garantir son bien-être. Sa concrétisation permet d’améliorer la résilience du cœur d’agglomération face aux changements climatiques, dans un contexte de fort développement.
Pour ce faire, deux principes d’actions sont identifiés :
Le renforcement de l’infrastructure écologique se concrétise par la renaturation des cours d’eau, des rives et des embouchures.
Pour rafraîchir le tissu bâti, plusieurs actions sont prévues dans le cœur d’agglomération comme la végétalisation et l’arborisation d’espaces publics, ou l’aménagement d’infrastructures de rétention d’eau à ciel ouvert.
Cet axe stratégique vise à limiter les risques, qu’ils soient d’origine humaine ou naturelle, et à diminuer les nuisances induites par les activités humaines, afin d’améliorer la santé de la population.
Il se compose des principes d’action suivants:
Le risque d’inondation est, dans le cœur d’agglomération, principalement lié à l’effet de ruissellement. Les mesures comme les renaturations de cours d’eau et un réaménagement d’espace public avec une désimperméabilisation des sols permettent de réduire ce risque.
Pour ce qui est du bruit et de l’air, une priorisation des mesures d’assainissement du bruit routier est réalisé ainsi qu’une stratégie ambitieuse de report modal (voir la stratégie mobilité) qui permettra d’une part de réduire le bruit mais aussi la pollution de l’air.
Cet axe stratégique vise à réduire la consommation d’énergie du cœur d’agglomération pour limiter les émissions des gaz à effet de serre et diminuer la dépendance aux énergies fossiles. De plus, la valorisation des ressources énergétiques renouvelables locales et le développement de réseaux pour leur distribution sont prioritaires. Sur la base de la planification énergétique territoriale, le présent axe stratégique défini les principes d’action suivants :